Découvrez les richesses architecturales de la commune de Sarzeau avec ses sites mégalithiques impressionnants et ses édifices classés, témoins d’une histoire millénaire.
Sites mégalithiques de Sarzeau
Un riche patrimoine préhistorique
Sarzeau abrite un patrimoine mégalithique remarquable, avec 22 sites répartis sur son territoire. Parmi eux, on trouve 10 menhirs, 5 dolmens, 4 tumulus, 3 cairns et des allées couvertes. Quatre de ces sites se situent dans le périmètre classé : les menhir et dolmen de Kermaillard, la stèle de Largueven (surnommée le Fuseau de Jeannette) et le dolmen de Riellec. Ces vestiges témoignent de l’occupation humaine ancienne de la région et offrent un aperçu fascinant de la vie préhistorique.
Des monuments protégés
Plusieurs édifices mégalithiques de Sarzeau bénéficient d’une protection officielle. Les dolmens à galerie de Brillac et de Bellevue, le menhir de Kermaillard et une partie de l’allée couverte du Net (située à Saint-Gildas-de-Rhuys) sont classés monuments historiques. Le menhir de la Motte de Largueven est inscrit à l’inventaire supplémentaire. Ces classements assurent la préservation et la mise en valeur de ce patrimoine unique, permettant aux générations futures d’en apprécier l’importance historique et culturelle.
Le menhir de Kermaillard : un joyau archéologique
Le menhir de Kermaillard se distingue par ses dimensions impressionnantes et ses gravures énigmatiques. Ce monolithe de granite, long de 5,35 mètres, a été redressé en 1988 lors de fouilles archéologiques. Sa surface présente 17 cupules et trois gravures intrigantes : un carré, un croissant et une petite hache emmanchée. Ces motifs préhistoriques, datant du Néolithique (entre 5000 et 3000 av. J.-C.), suscitent diverses interprétations, notamment celle d’une représentation de divinité-mère ou de symboles lunaires.
Description générale des sites patrimoniaux de Sarzeau
Sarzeau possède un patrimoine architectural riche et varié. La commune abrite 22 sites mégalithiques, dont 10 menhirs, 5 dolmens, 4 tumulus et 3 cairns et allées couvertes. Parmi eux, 4 se trouvent dans le périmètre classé : les menhir et dolmen de Kermaillard, la stèle de Largueven et le dolmen de Riellec.
Plusieurs édifices classés témoignent de l’importance historique de Sarzeau. On compte le dolmen à galerie de Brillac, celui de Bellevue, le menhir de Kermaillard et une partie de l’allée couverte du Net. Le menhir de la Motte de Largueven est inscrit à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques.
Le menhir de Kermaillard est un exemple remarquable du patrimoine mégalithique local. Ce monolithe en granite de 5,35 mètres de long, redressé en 1988, présente des gravures intrigantes. Sa face arrondie compte 17 cupules, tandis que sa face plane arbore les formes d’un carré, d’un croissant et d’une petite hache emmanchée.
Ces gravures, datant du Néolithique (entre 5000 et 3000 av. J.-C.), font l’objet de diverses interprétations. Certains archéologues y voient la représentation d’une divinité-mère, d’un croissant lunaire ou de cornes de bovidés. Ces vestiges offrent un aperçu fascinant de la vie préhistorique dans la région de Sarzeau.
Sites spécifiques dans le périmètre du bien
Mégalithes classés
Sarzeau abrite 22 sites mégalithiques, dont 4 dans le périmètre du bien : les menhir et dolmen de Kermaillard, la stèle de Largueven (Fuseau de Jeannette) et le dolmen de Riellec. Plusieurs édifices bénéficient d’un classement ou d’une inscription à l’inventaire des monuments historiques.
Le menhir de Kermaillard
Le menhir de Kermaillard, surnommé « La motte de beurre », est un monolithe de granite de 5,35 m de long. Redressé en 1988, il présente des gravures intrigantes sur ses faces : 17 cupules d’un côté, et un carré, un croissant et une petite hache emmanchée de l’autre.
Ces gravures, datant du Néolithique (entre -5000 et -3000 av. J.-C.), font l’objet de diverses interprétations. Certains archéologues y voient une représentation de divinité-mère, un croissant lunaire ou des cornes de bovidés. Ce monument offre un témoignage fascinant de l’art préhistorique.
Les édifices classés de Sarzeau
Sarzeau abrite un patrimoine architectural riche, avec de nombreux édifices classés. Parmi eux, on trouve le dolmen à galerie de Brillac, le dolmen à galerie de Bellevue, le menhir de Kermaillard et une partie de l’allée couverte du Net (située à Saint-Gildas-de-Rhuys). Le menhir de la Motte de Largueven est inscrit à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques. Ces classements représentent le plus haut niveau de protection du patrimoine culturel.
Le menhir de Kermaillard
Le menhir de Kermaillard est un imposant monolithe de granite mesurant 5,35 mètres de long. Surnommé « Guegen Amonen » (la motte de beurre) en raison de sa forme, il a été redressé en 1988 lors de fouilles archéologiques. Sa face arrondie présente 17 cupules, tandis que sa face plane, autrefois contre terre, révèle trois gravures intrigantes : un carré, un croissant et une petite hache emmanchée. Ces gravures, datant du Néolithique, suscitent diverses interprétations chez les archéologues.
Sites mégalithiques
La commune de Sarzeau compte au total 22 sites mégalithiques, témoignant de son riche passé préhistorique. On y trouve notamment 10 menhirs, 5 dolmens, 4 tumulus, 3 cairns et des allées couvertes. Parmi ces vestiges, 4 se trouvent dans le périmètre du bien classé : les menhir et dolmen de Kermaillard, la stèle de Largueven (aussi appelée Fuseau de Jeannette) et le dolmen de Riellec. Ces sites offrent un aperçu fascinant de l’architecture mégalithique de la région.
Liste des édifices classés
Sarzeau abrite plusieurs édifices classés au patrimoine architectural. Parmi eux, on trouve le dolmen à galerie de Brillac, le dolmen à galerie de Bellevue, le menhir de Kermaillard et le débordement de l’allée couverte du Net à Saint-Gildas de Rhuys.
Le menhir de la Motte de Largueven bénéficie d’une inscription à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques. Ces classements représentent le plus haut niveau de protection accordé au patrimoine culturel, soulignant l’importance historique et archéologique de ces sites.
Menhir de Kermaillard
Le menhir de Kermaillard est un monolithe de granite mesurant 5,35 mètres de long. Surnommé « Guegen Amonen » (La motte de beurre) en raison de sa forme lorsqu’il était couché, ce menhir a été redressé en 1988 lors d’une fouille archéologique.
Sa face arrondie présente 17 cupules, tandis que sa face plane, autrefois protégée contre terre, révèle trois gravures : un carré, un croissant et une petite hache emmanchée. Ces gravures, datant du Néolithique (5000-3000 av. J.-C.), sont interprétées comme des représentations de divinité-mère ou de symboles lunaires.
Importance du classement
Le classement joue un rôle crucial dans la préservation du patrimoine architectural de Sarzeau. La commune recense 22 sites mégalithiques, dont plusieurs sont situés dans le périmètre du bien classé, comme les menhir et dolmen de Kermaillard, la stèle de Largueven et le dolmen de Riellec.
Plusieurs édifices de Sarzeau bénéficient d’un classement aux monuments historiques. Parmi eux, on trouve le dolmen à galerie de Brillac, celui de Bellevue, le menhir de Kermaillard et une partie de l’allée couverte du Net. Le menhir de la Motte de Largueven est inscrit à l’inventaire supplémentaire.
Le classement à l’inventaire général du patrimoine culturel représente le niveau de protection le plus élevé. Cette reconnaissance permet de garantir la conservation et la mise en valeur de ces sites archéologiques uniques, témoins de l’histoire ancienne de Sarzeau.
Le menhir de Kermaillard, un témoin de l’histoire néolithique
Le menhir de Kermaillard est un imposant monolithe de granite situé à Sarzeau. Mesurant 5,35 mètres de long, ce vestige du Néolithique date d’environ 5000 à 3000 ans avant J.-C. Longtemps couché au sol, il a été redressé en 1988 lors de fouilles archéologiques. Sa forme particulière lui a valu le surnom de « Guegen Amonen », signifiant « La motte de beurre » en breton.
Ce menhir présente des caractéristiques archéologiques intéressantes. Sa face la plus arrondie, autrefois exposée, comporte 17 cupules. La face plane, protégée contre le sol, a conservé trois gravures : un carré, un croissant et une petite hache emmanchée. Ces motifs font l’objet de diverses interprétations par les experts, certains y voyant des représentations de divinité-mère ou des symboles lunaires.
Le menhir de Kermaillard fait partie des 22 sites mégalithiques de la commune de Sarzeau, dont 4 sont situés dans un périmètre classé. Il bénéficie du plus haut niveau de protection patrimoniale, étant classé monument historique. Ce statut souligne l’importance de ce vestige pour la compréhension de l’histoire néolithique de la région.
Caractéristiques physiques
Sarzeau possède un riche patrimoine mégalithique avec 22 sites répertoriés, dont 10 menhirs, 5 dolmens, 4 tumulus et 3 cairns. Quatre de ces sites se trouvent dans le périmètre classé : les menhir et dolmen de Kermaillard, la stèle de Largueven et le dolmen de Riellec.
La commune compte plusieurs édifices classés, notamment le dolmen à galerie de Brillac, celui de Bellevue, le menhir de Kermaillard et une partie de l’allée couverte du Net. Le menhir de la Motte de Largueven est inscrit à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques.
Le menhir de Kermaillard se distingue par sa taille imposante de 5,35 mètres de long. Surnommé « La motte de beurre » en breton, il présente des gravures uniques : 17 cupules sur sa face arrondie et trois gravures sur sa face plane, dont un carré, un croissant et une petite hache emmanchée.
Ces gravures, datant du Néolithique (entre -5000 et -3000 avant J.-C.), font l’objet de diverses interprétations. Certains archéologues y voient des représentations de divinité-mère, de croissant lunaire ou de cornes de bovidés, témoignant de l’importance culturelle de ce monument préhistorique.
Interprétations des gravures
Le menhir de Kermaillard à Sarzeau présente des gravures intrigantes sur sa face plane. On y distingue un carré, un croissant et une petite hache emmanchée. Ces motifs ont suscité diverses interprétations archéologiques, offrant un aperçu fascinant des croyances et pratiques du Néolithique.
Certains experts suggèrent que le carré pourrait représenter une divinité-mère, figure importante dans les sociétés préhistoriques. Cette interprétation souligne le rôle central de la fertilité et de la maternité dans les croyances de l’époque.
Le croissant est parfois associé à un symbole lunaire, évoquant possiblement des rituels liés aux cycles de la lune. D’autres archéologues y voient plutôt des cornes de bovidés, appelées corniformes, qui pourraient symboliser la force ou l’abondance.
Ces gravures néolithiques, datant d’environ 5000 à 3000 avant J.-C., témoignent de la richesse symbolique et culturelle des sociétés préhistoriques. Elles offrent un aperçu précieux des croyances et des pratiques de nos ancêtres lointains.
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