La commune de Surzur, située en Bretagne, regorge de monuments témoins de son riche passé. De la voie romaine aux châteaux et chapelles, chaque bâtiment raconte une histoire unique. Cet article explore ces trésors architecturaux qui font partie intégrante de l’identité de Surzur.
La voie romaine et les découvertes antiques
La voie romaine reliant Vannes à Nantes traversait Surzur dans l’Antiquité. Des vestiges importants de cette époque ont été mis au jour sur le territoire de la commune. À Liscorno, une borne milliaire a été découverte et est aujourd’hui exposée au musée de Vannes. Un atelier de potiers datant du IVe siècle a également été mis au jour, témoignant de l’activité artisanale de la région à cette période.
Le patrimoine médiéval et moderne
Au Moyen Âge, le territoire de Surzur était plus vaste qu’aujourd’hui, englobant La Trinité, Noyalo et le Hézo. Une vingtaine de seigneuries se partageaient alors ces terres. Certains manoirs encore visibles de nos jours datent de la fin de cette époque. Le bourg conserve des maisons anciennes entre l’église et la chapelle Notre-Dame de Recouvrance, dont la plus ancienne remonte à 1602.
Les chapelles et édifices religieux
Surzur possède plusieurs chapelles disséminées dans la campagne, caractéristiques du patrimoine breton. La chapelle Sainte-Anne Grappon abrite un retable et un tableau central du XVIIe siècle récemment restaurés, considérés comme uniques en Bretagne. D’autres chapelles privées sont attachées à des domaines comme le château du Grégo, le manoir de Pérennès et le château de Pembulzo.
Les châteaux et manoirs
Le manoir de Cohanno, datant de 1427, est inscrit à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques. Le château de Pembulzo, reconstruit au XIXe siècle après un incendie, conserve une chapelle de 1777. Le château du Grégo, construit à la Mansart, appartenait à la famille Du Bot avant de passer aux De Virel. Enfin, le château de Brillac fut édifié en 1907 par Roger de Langlais à proximité de Cohanno.
Patrimoine historique de Surzur
Vestiges romains
Une borne milliaire découverte à Liscorno témoigne du passage de la voie romaine Vannes-Nantes par Surzur. Cette pièce archéologique est aujourd’hui exposée au musée de Vannes. Un important atelier de potiers datant du IVe siècle a également été mis au jour dans la commune.
Patrimoine médiéval et moderne
Le territoire de Surzur comptait une vingtaine de seigneuries au Moyen Âge. Plusieurs manoirs datant de la fin de cette époque subsistent encore. Le bourg ancien, entre l’église et la chapelle Notre-Dame de Recouvrance, abrite des maisons remontant au XVIIe siècle.
Chapelles et édifices religieux
La commune compte plusieurs chapelles disséminées dans la campagne. Le retable de la chapelle Sainte-Anne Grappon, datant du XVIIe siècle, est une pièce unique en Bretagne récemment restaurée. D’autres chapelles privées se trouvent sur les domaines du Grégo, de Pérennès et de Pembulzo.
Manoirs et châteaux
Le manoir de Cohanno, datant de 1427, est inscrit à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques. Le château de Pembulzo, reconstruit au XIXe siècle, conserve une chapelle de 1777. Le château du Grégo, construit à la Mansart, possède une chapelle du XIXe siècle.
Monuments historiques
Surzur compte deux monuments historiques inscrits, tous deux localisés avec précision et disposant d’une fiche Wikipédia. L’un d’entre eux est documenté par une photographie. Aucun monument classé n’est recensé dans la commune.
Atelier de potiers du IVe siècle
Un important atelier de potiers datant du IVe siècle a été découvert à Liscorno, près de Surzur. Cette trouvaille témoigne de l’activité artisanale dans la région à l’époque gallo-romaine. Une borne milliaire a également été mise au jour à proximité.
Ces vestiges archéologiques sont exposés au musée de Vannes, permettant aux visiteurs d’observer ces traces tangibles du passé antique de la région. Ils illustrent l’importance de Surzur le long de la voie romaine reliant Vannes à Nantes.
La présence de cet atelier de potiers souligne le savoir-faire artisanal local et l’activité économique qui existait dans la région il y a près de 1700 ans. Ces découvertes contribuent à enrichir notre compréhension de l’histoire antique de la Bretagne.
L’héritage médiéval
Les vestiges antiques et médiévaux
Surzur possède un riche passé historique remontant à l’époque romaine. Une borne milliaire et un atelier de potiers du IVe siècle témoignent de cette présence antique. Au Moyen Âge, le territoire était divisé entre une vingtaine de seigneuries. Certains manoirs actuels datent de la fin de cette période, offrant un aperçu de l’architecture noble de l’époque.
Le patrimoine religieux
Les chapelles parsèment la campagne de Surzur, comme dans toute la Bretagne. La chapelle Sainte-Anne Grappon abrite un retable du XVIIe siècle récemment restauré, considéré comme unique en Bretagne. D’autres chapelles privées se trouvent sur les domaines du château du Grégo, du manoir de Pérennès et du château de Pembulzo, ajoutant à la richesse du patrimoine religieux local.
Le quartier ancien du bourg
Entre l’église et la chapelle Notre-Dame de Recouvrance se trouve le quartier le plus ancien de Surzur. La maison la plus ancienne date de 1602. Ce secteur a conservé son cachet d’antan avec ses portes cintrées, ses gerbières et ses décorations sculptées. Certains linteaux portent des inscriptions ou des symboles représentant les métiers des anciens propriétaires, offrant un aperçu de la vie quotidienne passée.
Les manoirs et châteaux historiques
Le manoir de Cohanno, datant de 1427, est inscrit à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques. Le château de Pembulzo, reconstruit après un incendie, conserve une chapelle de 1777. Le château du Grégo, construit à la Mansart, appartenait à la famille Du Bot pendant des siècles. Ces demeures illustrent l’évolution de l’architecture nobiliaire à travers les époques.
Les seigneuries de Surzur
Un riche passé médiéval
Au Moyen Âge, une vingtaine de seigneuries se partageaient le territoire de Surzur, plus vaste qu’aujourd’hui. Il englobait alors La Trinité, Noyalo et le Hézo. Certains manoirs encore visibles datent de la fin de cette époque.
Un patrimoine architectural préservé
Le bourg de Surzur conserve des maisons anciennes entre l’église et la chapelle Notre-Dame de Recouvrance. La plus ancienne date de 1602. Ce quartier a gardé son aspect d’antan avec ses portes cintrées, gerbières et sculptures décoratives.
Plusieurs châteaux et manoirs privés parsèment la commune, comme le château du Grégo (XIXe siècle), le manoir de Pérennès ou le château de Pembulzo (1777). Ces demeures possèdent leurs propres chapelles, inaccessibles au public.
Le manoir de Cohanno, témoin de l’histoire locale
Le manoir de Cohanno, dont le nom signifie « les hiboux » en breton, date de 1427. Ancienne résidence des Francheville, il fut ensuite occupé par le seigneur de Kerguisé avant d’être cédé à la famille Beauchêne de la Morinière.
Restauré au fil des siècles, notamment par le peintre Xavier de Langlais, le manoir de Cohanno est aujourd’hui inscrit à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques. Cette propriété privée n’est pas ouverte aux visites.
Manoirs et châteaux
Manoirs historiques
Le manoir de Cohanno, datant de 1427, est inscrit à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques. Ancienne résidence des Francheville, il a été restauré au fil du temps, notamment par le peintre Xavier de Langlais. Ce manoir privé n’est pas ouvert aux visites.
Le château de Pembulzo a des origines médiévales remontant à 1427. Reconstruit après un incendie au siècle dernier par la famille De la Bédoyère, il conserve une chapelle datant de 1777 qui sert aujourd’hui de communs.
Autres demeures remarquables
Le château du Grégo, construit à la Mansart au XIXe siècle, appartenait autrefois à la famille Du Bot. Sa chapelle d’origine a été remplacée par un nouvel édifice au XIXe siècle.
Le manoir de Pérennès et le château de Roger de Langlais, construit en 1907 près de Cohanno, font également partie du patrimoine architectural de Surzur, bien que moins connus.
Patrimoine du bourg
Dans le centre de Surzur, entre l’église et la chapelle Notre-Dame de Recouvrance, se trouve un quartier ancien préservé. Les maisons, dont la plus ancienne date de 1602, conservent des éléments architecturaux d’époque comme des portes cintrées et des sculptures.
Les chapelles de Surzur
La chapelle Notre-Dame de Recouvrance
Située dans le bourg de Surzur, la chapelle Notre-Dame de Recouvrance, aussi appelée « chapelle du bas du bourg », se trouve au cœur d’un quartier historique. Ce secteur abrite les maisons les plus anciennes de la commune, datant du début du XVIIe siècle. Les bâtiments environnants ont conservé leur aspect d’origine, avec des portes cintrées, des gerbières et des éléments sculptés caractéristiques.
La chapelle Sainte-Anne Grappon
La chapelle Sainte-Anne Grappon abrite un retable du XVIIe siècle récemment restauré. Son tableau central constitue une pièce rare en Bretagne. Cette chapelle témoigne de la richesse patrimoniale de Surzur et s’inscrit dans la tradition des édifices religieux disséminés dans la campagne bretonne, contribuant à l’identité culturelle de la région.
Autres chapelles privées
Surzur compte également plusieurs chapelles situées sur des domaines privés, inaccessibles au public. On trouve notamment des chapelles au château du Grégo (XIXe siècle), au manoir de Pérennès et au château de Pembulzo (1777). Ces édifices, bien que moins connus, participent à la diversité architecturale et à l’histoire locale de la commune.
La chapelle Sainte-Anne Grappon, un monument historique remarquable
La chapelle Sainte-Anne Grappon est l’un des joyaux patrimoniaux de Surzur. Son retable et son tableau central, datant du XVIIe siècle, ont récemment été restaurés. Cet ensemble constitue une pièce unique en Bretagne, témoignant de la richesse historique de la commune.
Un patrimoine religieux préservé
Surzur abrite plusieurs chapelles disséminées dans la campagne, caractéristiques de l’architecture religieuse bretonne. Outre Sainte-Anne Grappon, on trouve la chapelle Notre-Dame de Recouvrance dans le bourg, ainsi que d’autres édifices situés sur des domaines privés.
Un héritage architectural diversifié
Le patrimoine bâti de Surzur ne se limite pas aux édifices religieux. Le bourg conserve des maisons anciennes datant du XVIIe siècle, avec leurs caractéristiques architecturales préservées : portes cintrées, gerbières et ornementations sculptées.
La commune compte également plusieurs manoirs et châteaux d’intérêt historique, comme le manoir de Cohanno (1427) et le château de Pembulzo, témoins de l’histoire seigneuriale de la région.
Autres chapelles privées
Plusieurs chapelles privées sont disséminées sur le territoire de Surzur, témoignant de son riche passé. Bien que non accessibles au public, ces édifices contribuent au patrimoine historique de la commune.
Chapelle du château du Grégo
Le château du Grégo, datant du XIXe siècle, possède sa propre chapelle. Cette propriété privée abrite un édifice religieux qui s’inscrit dans l’ensemble architectural du domaine.
Chapelle du manoir de Pérennès
Le manoir de Pérennès comporte également une chapelle privée. Cet élément architectural renforce le caractère historique du lieu et témoigne de l’importance accordée à la pratique religieuse par ses anciens propriétaires.
Chapelle du château de Pembulzo
La chapelle du château de Pembulzo, datant de 1777, est l’un des rares éléments anciens conservés après la reconstruction du château au siècle dernier. Elle sert désormais de communs à la propriété.
Ces chapelles privées, bien que fermées au public, participent à la richesse architecturale et historique de Surzur, offrant un aperçu de la vie des grandes familles qui ont marqué l’histoire locale.
Les maisons anciennes du bourg
Un quartier préservé entre l’église et la chapelle
Le bourg de Surzur abrite un quartier ancien entre l’église et la chapelle Notre-Dame de Recouvrance. On y trouve des maisons datant du XVIIe siècle, dont la plus ancienne remonte à 1602. Ces bâtiments ont conservé leur aspect d’origine avec des éléments architecturaux caractéristiques : portes cintrées, gerbières, crochets sur les rampants et même des sculptures figuratives ou animalières. Certains linteaux arborent des inscriptions ou des outils symbolisant le métier des anciens propriétaires.
Patrimoine architectural privé
Surzur compte plusieurs propriétés privées d’intérêt historique. Le château du Grégo (XIXe siècle), le manoir de Pérennès et le château de Pembulzo (1777) possèdent chacun leur chapelle, non accessibles au public. Le manoir de Cohanno, datant de 1427, est inscrit à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques. Ancienne résidence des Francheville, il a été restauré au fil des siècles, notamment par le peintre Xavier de Langlais.
Châteaux et demeures notables
Le château de Pembulzo, d’origine médiévale, a été reconstruit au XIXe siècle après un incendie. Seule sa chapelle de 1777 subsiste de l’édifice original. Le château du Grégo, construit à la Mansart, appartenait autrefois à la famille Du Bot avant de passer aux De Virel. Sa chapelle a été remplacée au XIXe siècle. Enfin, le château de Cohanno, bâti en 1907 par Roger de Langlais, complète ce riche patrimoine architectural local.
Quartier entre l’église et la chapelle Notre Dame de Recouvrance
Entre l’église et la chapelle Notre-Dame de Recouvrance se trouve un quartier historique de Surzur. Les bâtiments ont conservé leur aspect d’antan, avec des portes cintrées, des gerbières et des éléments sculptés sur les façades.
La maison la plus ancienne date de 1602. Certains linteaux portent des inscriptions ou des symboles représentant les métiers des anciens propriétaires. Ce quartier témoigne de l’architecture traditionnelle de la région.
Deux monuments historiques inscrits sont présents à Surzur, dont le manoir de Cohanno. Cette demeure de 1427 a appartenu à plusieurs familles nobles au fil des siècles. Elle a été restaurée par ses propriétaires successifs, notamment le peintre Xavier de Langlais.
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